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Choisir ses couleurs pour peindre à l’huile

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Constituées de pigments agglutinés dans de l’huile, les couleurs se présentent dans des tubes en étain ou en plastique, fermés par un bouchon à vis. Sur chacun vous lisez : le nom de la couleur, la contenance, le code du pigment utilisé, le type d’huile et certaines caractéristiques comme la solidité, la transparence ou la permanence de la peinture.

 

Avec des centaines de couleurs à l’huile à votre disposition, vous ne savez plus où donner de la tête ? Voici quelques conseils utiles !

Débutants : commencez avec des peintures d’étude

  • Késako ? Les peintures d’étude sont élaborées à partir d’imitation des pigments précieux (comme le cadmium ou le cobalt).
  • Quels avantages ? Pour débuter sans vous ruiner, avec des qualités très proches des peintures professionnelles (auxquelles vous pouvez passer progressivement).

Assortiment de base : comment le composer ?

Se limiter, pourquoi ?

  • Trop de couleurs signifie que certaines restent inutilisées. Conséquence : l’huile finit par suinter du tube et la peinture devient inutilisable.
  • Il est préférable que vous obteniez vos propres couleurs en expérimentant les mélanges. Avec le temps, vous constituerez votre propre nuancier !

 

 

Suggestion d’assortiment

Il existe des kits prêts à l’emploi de 6 à 10 couleurs : la solution pour les artistes en herbe ! Voici un assortiment de base de 12 couleurs qui vous permettra d’obtenir une large palette en les mélangeant :

  • Le blanc : blanc de zinc
  • Le noir : noir d’ivoire
  • Les jaunes : jaune de cadmium-citron, jaune de cadmium-clair, jaune de cadmium-foncé
  • Les rouges : laque de garance-foncée
  • Les bleus : bleu de cobalt-clair, bleu céruléum, bleu d’outremer-foncé
  • Les bruns : ocre jaune, terre de Sienne-brûlée, terre d’ombre-brûlée